Vers un nouvel ordre mondial de dictature sanitaire

Jusqu'où nos libertés pourront-elles être réduites pour des motifs de sécurité sanitaire ?

Cet épisode que nous espérons exceptionnel est le fruit de réflexions préventives certes, sont-elles fondées au regard de la grippe qui tua les mêmes populations au-delà de 65 ans et pour les plus jeunes atteintes de comorbidités 12000 âmes françaises en 2019, reparties sur 8 semaines ? http://www.grippe-geig.com/bilans-saisons-precedentes.html , voir bulletin épidémiologique hebdomadaire de Santé Publique France en PDF.

Ou comment vouloir protéger ces mêmes populations déjà touchées hier par ces épidémies tuant le double de personnes du Covid si réparties sur une année pour des motifs de sécurité sanitaire ? Sans compter les morts attribués à la présente pandémie.

On est en droit de s'interroger pourquoi. J'invite les lecteurs à lire "Quand la psychose fait dérailler le monde" de Jean-loup Bonnamy.

Il ne suffit pas de croire aux thèses complotismes du "nouvel ordre mondial"et des peurs que procurent sur chacun la mort par maladie inconnue qui échappe aux Professeurs et témoigne des succès des Terminator, The Walking Dead, Résident Evil et autres fictions qui pullulent sur Netflix fin du Monde pour agrémenter les peurs ? Simple question.

Le vaccin est promis, il sera rendu indirectement obligatoire par voie coercitive, ce même si votre immunité par l'anti-virus présent dans votre corps ait été déterminé ou non. Peut-on aussi se poser la question du pourquoi les plaquettes de personnes atteintes aient été diffusées ?

Il faudra qu'on m'explique en quoi le vaccin qui inocule l'anti-virus est meilleur que l'anti-virus immunitaire et comment certains prétendent avoir eu 2 fois (j'attends le "je l'ai eu 4 fois") lorsque factuellement peu peuvent témoigner d'avoir établi des tests ?

Les chiffres du 17 novembre apportés pat M. Salomon en attestent : 26 millions de tests produits à 75 € = 2 milliards rien que pour les laboratoires pour des tests PCR dont l’efficacité est très contestable...Et ce n'est qu'un début.

La dette qui s'élevait avant la pandémie à plus de 30000€ par habitant va exploser encore. Qui paiera et comment ? Avec quelle économie dans un pays miné par les dépenses sociales et une productivité industrielle anecdotique, un tourisme réduit à néant, une consommation des ménages profitant massivement aux multinationales et franchises ?

Mais c'est sans compter sur les conséquences conjuguées des confinements, des pertes d'emploi, des faillites et des maladies liées aux inactivités lorsqu'elles se limitent à 1 heure par jour sur la santé, de l'impossibilité du sport et du bonheur que procurent les sorties, les échanges, les partages là où la solitude et l'ennuient blessent. Que dire de la mal-bouffe et la part belle est donnée aux fast-food pour se restaurer au déjeuner ?

Nos étions déjà les champions du Monde des anti-dépresseurs et de la dette par habitant, il nous restera le football comme fierté à défaut de notre Histoire et notre très singulière condescendance qui nous caractérise.

Je passe sur le rôle central promis au téléphone, voie de contrôle par excellence et au nouveau modèle de consommation numérique tous azimuts et au projet de Loi bioéthique voté..le 31 juillet 2020.https://www.vie-publique.fr/loi/268659-loi-bioethique-pma

Le paradigme change. Sans en venir aux extrêmes de société chinoise, d'où me revient ce fameux proverbe "Quand le sage désigne la Lune, l'idiot regarde le doigt", qui illustre pleinement la bêtise de l'immédiat sous le nez face à l’importance des conséquences inconnues.

Que l'on ne me vende par qu'on se bat pour sauver des vies -c'est la mission de tout professionnel de santé - de toute personne même ! Si l'on devait observer sur BFM l'agonie d'enfants atteints de cancer on n'en serait que plus convaincu du sort de la vie; bien avant celle de ceux qui jusqu'alors étaient totalement anonymes et plus nombreux.

Le pouvoir des médecins et leur puissant ordre dans les puissantes puissances (au-delà des puissance divine même ? ) est devenu incontestable, irrémédiable au motif de la vie et du "quoi qu'il en coûte" et régit nos libertés pour imposer la crainte, les dissensions, les replis sur soi et le risque de guerres civilisationnelles que la situation alimente sur fond de bienveillance globale.

Une hérésie assumée pour pallier à la pusillanimité des générations dépassées en quête de rédemption prétendument salvatrice de l'humanité dont ils ne seront ni comptables, ni responsables, ni coupables des conséquences induites ?

Ah-la-la.

Le port du masque toutes circonstances me fait inévitablement penser au ridicule du port du casque de chantier, baudrier fluorescent et lunettes de protection pour brandir sa science "sécurité d'abord" lors d'inauguration d'une usine devant un parterre d'invités en cravate. Le tout  pour se conformer au Plan de de Prévention imaginé pour des conditions de travail réelles. Surtout lorsque cette sécurité "bête" conduit in fine à son déni quand on finit par être un cosmonaute opérant sur une tour instable pour changer une ampoule qui conduit à davantage de risques induits. Du vécu. Merci les spécialistes.